par Manon Ricou le
Giuseppa est voleuse. Alors que son ou sa complice reste inconnu, elle manipule sans pitié dans The Detective Club, gagnant facilement la confiance des autres.
Elle a le bras dans le plâtre et une tête d’ange. Mais derrière ce regard innocent, Giuseppa cache un terrible secret. Dans le deuxième épisode de « The Detective Club », la trahison prend un visage inattendu.
L’épreuve commence, la stratégie s’installe
Après le vol de Kiki, le célèbre bouledogue du mystérieux S, les 18 invités de « The Detective Club » n’ont qu’un objectif : démasquer les deux voleurs qui se cachent parmi eux. Les règles sont simples : les détectives doivent remporter des épreuves pour gagner des indices. Les voleurs, eux, doivent tout faire pour saboter, sans se faire repérer.
Première mission : identifier le faux couple parmi trois duos. Un exercice d’analyse pointilleuse en apparence, mais surtout un test de comportement. Julien Tanti pointe rapidement Beverly du doigt, tandis que Marine se méfie de Bengous : « Ça me conforte totalement dans l’idée que c’est potentiellement lui le voleur ». Mais au milieu des soupçons, un joueur reste au-dessus de tout soupçon.
Giuseppa, l’ange du jeu ou presque
Bras plâtré, tête d’ange, Giuseppa inspire la confiance. Trop peut-être. Car derrière cette apparente innocence se cache une vérité que personne n’imagine. Giuseppa est l’une des deux voleuses. Et elle le sait, son image est sa meilleure arme.
« J’étais faite pour être la voleuse », confie-t-elle, consciente de son avantage certain. Manon et Julien Tanti, pourtant expérimentés dans le monde de la stratégie, lui livrent sans méfiance leurs doutes et leurs analyses.
Et Giuseppa compte bien s’en servir. Prête à trahir le moment venu, elle assume pleinement son rôle de manipulatrice : « Je vais être obligée d’être sans pitié ».
Soupçons, révélations et premier affrontement
Pendant ce temps, le reste des joueurs analyse chaque réaction. Cindy Sander est la première à subir les conséquences de cette tension généralisée. Soupçonnée, elle fléchit : « J’ai du mal à prendre mes repères », confie-t-elle, profondément touchée par ces accusations.
Mais elle n’est pas la seule dans la ligne de mire. Enzo intrigue. Ryad reste trop silencieux. Adixia doute : « Il en fait des caisses », dit-elle à Giuseppa à propos d’Enzo. Quant à Ryad, son comportement paraît étrange pour de nombreux joueurs.
Benoît et Beverly tentent une approche originale : tester la capacité de Ryad à mentir en le piégeant sur ses cheveux. Selon eux, il les lisse, mais il nie. Pour eux, il n’y a plus de doute, c’est un menteur né.
La paranoïa gagne du terrain
À mesure que les heures passent, le climat dans la villa vire à la psychose. Accuser, c’est risquer d’éliminer un innocent. Ne rien dire, c’est permettre aux voleurs d’agir.
Marine résume la tension ambiante : « J’ai peur d’accuser un innocent à tort ». Mais dans « The Detective Club », ce sont souvent ceux qui semblent les plus calmes qui sont les plus dangereux.
Pendant que les autres s’épuisent à chercher, Giuseppa joue sa partition sans fausse note. La voleuse avance dans l’ombre, récolte les confidences et continue à saboter de l’intérieur. Elle n’a qu’un objectif : aller au bout, quitte à trahir ceux qui lui font confiance.
Sabotage réussi ?
Mais une question reste en suspens : les voleurs ont-ils réussi à saboter l’épreuve ? Les détectives ont-ils gagné l’indice ? Si oui, qui va-t-il désigner ? Et si non, combien de temps les deux coupables pourront-ils encore rester cachés ?
Une chose est sûre, le jeu prend un tournant magistral. Les alliances se forment, les stratégies se façonnent. Les prochains épisodes promettent de nombreux rebondissements et encore d’autres accusations.
Giuseppa a pris une longueur d’avance. Mais pour combien de temps ? Découvrez le replay gratuit de l’épisode du 17 juin dès maintenant sur M6+.