Objectif Maison (6ter) : portrait des familles de la saison 2

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3 couples ont le même objectif : faire ou refaire toute leur maison eux-mêmes 😯

📺 « #ObjectifMaison : Un an pour tout changer », saison 2 inédite à 21:05 pic.twitter.com/x3vsOHVgQ0

— 6ter (@6ter) January 9, 2024

La famille Vieira-Larrory de Normandie

Laure, 34 ans, décoratrice d’intérieur, et Matthieu, 35 ans, conseiller immobilier, se sont rencontrés dans l’émission « Mariés au premier regard ». Trois ans après leur mariage, le couple, maintenant parents de la petite Lia âgée de 17 mois, s’engage dans un nouveau défi : rénover une maison en Normandie.

L’histoire de Laure et Matthieu est marquée par leur passage de la vie parisienne à la campagne normande. Malgré quelques hésitations initiales, Laure s’est finalement convaincue de la pertinence de ce choix. Leur projet est ambitieux, surtout avec leur passion pour le bricolage et un budget global de 420 000 € pour l’achat et la rénovation de leur maison. Le couple devra jongler entre les travaux, leurs carrières professionnelles, et leur vie de famille. Reste à voir s’ils réussiront à transformer leur maison en un cocon familial rêvé.

La famille Maene du Nord

Gaëlle, Jeroen et leurs deux filles, Emmy et Lia, forment une famille belge ayant entrepris un projet de vie audacieux. En effet, ils souhaitent transformer une grange en ruine du Nord de la France en maison de rêve. Il y a deux ans, ils ont quitté la Belgique pour relever ce défi colossal, mettant presque tout le poids des travaux sur les épaules de Jeroen. Ce cuisinier professionnel a vendu son restaurant pour se consacrer entièrement à la rénovation.

Pendant ce temps, Gaëlle, kinésithérapeute, travaille sans relâche pour subvenir aux besoins de la famille et financer le loyer de leur logement temporaire. Désormais, la structure de la maison est protégée des intempéries, et les chambres sont quasiment terminées. Mais le chantier, lui, est loin d’être achevé.

La famille Heu de la Somme

David et Julie se sont lancés dans une aventure hors du commun en achetant un corps de ferme abandonné depuis six ans au cœur d’un village picard. Ce projet de rénovation d’envergure représente un immense défi pour le couple.. Avec David occupé en tant qu’informaticien cinq jours sur sept, Julie a pris la décision de quitter son emploi de commerciale pour se consacrer pleinement à la rénovation, tout en gérant son rôle de mère au foyer.

Face à l’ampleur de la tâche, le couple bénéficie de l’aide précieuse de leurs pères, tous deux nommés Bruno. Le projet, d’une envergure exceptionnelle, mobilise toute leur énergie pour transformer ce corps de ferme en la maison de leurs rêves.

La famille Gobé de Haute-Garonne

Olivia et Brice, tous deux âgés de 31 ans et basés dans la région toulousaine, doivent rénover une maison laissée à l’abandon depuis deux ans. Le couple, qui est novice en matière de travaux, est parent de deux petites filles, Ivy, âgée de 3 mois, et Lia, de 3 ans.

Avec un budget travaux de 90 000 euros, ils ont choisi de relever le défi sans faire appel à des professionnels, une décision audacieuse étant donné leur manque d’expérience en bricolage. Pour réduire les coûts, Olivia, qui est créatrice de contenus sur les réseaux sociaux, utilise sa notoriété pour sponsoriser une partie des travaux.

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La famille Cleuziou-Favennec du Finistère

Jérémy, un photographe de 30 ans, et son compagnon Julien, employé dans l’industrie métallurgique, partagent leur vie depuis 8 ans. Ils ont récemment décidé de franchir une étape importante en achetant leur première maison. Leur choix s’est porté sur une vieille bâtisse en pierres, un véritable coup de cœur, mais qui nécessite une rénovation complète.

Pour mener à bien ce projet ambitieux, ils se sont fixé un délai d’un an. En plus de leur engagement professionnel, les deux hommes sont également pompiers volontaires, ce qui ajoute une dimension supplémentaire à leur défi.

La famille Michotte de Haute-Garonne

Olivier, informaticien, et Audrey, architecte d’intérieur, sont les parents dévoués de deux enfants, Alan et Noa. Ensemble, ils ont décidé de quitter la région parisienne pour s’installer à Rouffiac-Tolosan, en Haute-Garonne. Là-bas, ils entreprennent un challenge de taille : construire leur maison de A à Z. Ce n’est pas leur première expérience en auto-construction. En effet, ils ont déjà réalisé une première maison qu’ils ont ensuite vendue pour pouvoir repartir de zéro avec un projet encore plus ambitieux.

Cette nouvelle demeure se distinguera par sa structure innovante, composée de blocs de polystyrène dans lesquels du béton sera coulé. Cette technique peu conventionnelle permet à Olivier et Audrey d’allier efficacité et performance, notamment en termes d’isolation extérieure. Audrey, avec son expertise en design d’intérieur, réfléchit minutieusement à l’aménagement de cette maison, bien que les plans finaux restent encore à définir.

La famille Tosse de la Nièvre

Mathilde, 33 ans, et Danny, 36 ans, sont ingénieurs spécialisés dans les sols pollués. Leur idée est de construire un habitat alternatif qui incarne leur philosophie de vie écoresponsable. Le choix s’est porté sur une kerterre, une maison en forme de dôme typique de la Bretagne, faite de mèches de chanvre trempées dans de la chaux. Contrairement à la tradition qui prévoit un seul dôme, leur projet audacieux en comprend huit.

Cette maison sera entièrement écologique, équipée de toilettes sèches, de panneaux solaires et d’un poêle à bois pour le chauffage. Pour se consacrer pleinement à ce projet hors du commun, Mathilde et Danny ont mis leur carrière professionnelle en pause. Ils ont vendu leur précédente maison et vivent actuellement en location, utilisant leurs économies pour financer la construction.

La famille Schaal-Durantou des Pyrénées-Atlantiques

Alexandre et Lisa se sont embarqués dans une aventure extraordinaire il y a trois ans : la restauration d’un moulin datant du XIXe siècle. Ingénieurs en développement durable, leur vision était de transformer cette structure historique en un espace autonome, en utilisant exclusivement des matériaux durables, locaux et naturels.

Cependant, au début des travaux, le couple a été confronté à un imprévu : la charpente du moulin était infestée de termites et menaçait de s’effondrer. Cette découverte a contraint le couple à investir l’intégralité de leur budget initial de 100 000 euros dans une nouvelle toiture. Face à cette situation, ils ont dû faire preuve d’adaptation. Ils vivent dans un mobile-home adjacent au moulin, organisent des chantiers participatifs, et achètent des matériaux de seconde main pour poursuivre leur projet.