“Qui veut être mon associé ?” : une entrepreneuse entend révolutionner le milieu de la justice

Qui veut être mon associé : Néo-justice face aux investisseurs

par Clément Lasserre le

Ce mercredi 28 février 2024, la fondatrice de Neo Justice est venue défendre son projet devant les investisseurs. On vous en dit plus dans cet article.

Comment regarder le replay de l’émission ?

Les épisodes sont disponibles en streaming vidéo sur 6play.

Une plateforme en ligne pour les litiges

En tant qu’ancienne avocate, Colline a toujours eu ce souhait d’entreprendre. Passée 40 ans, elle sent qu’il est temps pour elle de se lancer dans le plus gros projet de sa vie. C’est alors qu’elle lance Neo Justice, une plateforme en ligne destinée à accélérer le processus des décisions de justice, une sorte de tribunal en ligne. Car, on le sait, la justice en France est souvent décriée pour sa lenteur.

Sur son site internet, les deux parties peuvent s’inscrire pour exposer le problème auquel elles sont confrontées. Grâce à un algorithme précis, un litige peut se régler en moins de deux mois. C’est un délai assez remarquable quand on sait que dans la vie réelle, cela pourrait prendre 10 fois plus de temps. Cette initiative séduit tout particulièrement Stéphanie Delestre qui décide de l’accompagner sur ce projet, à hauteur de 100 000 euros contre 8% du capital de Neo Justice. Les compétences technologiques de cette dernière vont sans doute propulser Neo Justice sur le devant de la scène.

Lire aussi : le témoignage de Kelly Massol sur son obésité.

Les désillusions de l’émission du 28 février

Tout le monde n’a pas forcément réussi sa prestation face aux investisseurs. C’est notamment le cas de Cyril Baliki, CEO de Super Jet Car. Les investisseurs ne voient pas le lavage automatique des voitures comme un business pérenne et lucratif. Selon eux, le coût que représente l’installation d’une station de lavage (deux millions d’euros) est trop élevé.

Mathieu et Mickaël, des passionnés de barbecue, ont créé Start n Grill, un dispositif ingénieux permettant d’allumer son barbecue à distance, en un seul clic. Pour le jury, ils ont tout intérêt à vendre cette innovation à des constructeurs déjà établis, comme Weber, plutôt que de développer une marque de barbecue. Ils repartent chez eux déçus, mais toujours motivés à faire prospérer leur idée.

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