par Clément Lasserre le
L'émission présentée par Julien Courbet "On n'est pas d'accord" revient ce vendredi à 21:10 sur M6 avec un nouveau numéro prometteur. L’animateur endosse à nouveau son rôle d'arbitre pour démêler trois conflits particulièrement tendus. Au programme : une maison de la discorde, une guerre des étages, et des voisins aux abois. Le programme est aussi à retrouver en replay gratuitement sur M6+.
Un concept unique pour résoudre les conflits
Julien Courbet réunit sur son plateau les protagonistes de chaque affaire. Après avoir écouté les arguments de chacun, confronté les versions et envoyé des enquêteurs sur le terrain, l’animateur propose deux options aux parties en conflit : trouver un accord à l’amiable ou s’en remettre à son arbitrage. Une approche originale pour déterminer qui a tort et qui a raison dans ces situations complexes.
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Les 3 affaires du jour
Pauline contre Michel : la maison de la colère
Le premier cas oppose Pauline, locataire, à Michel, son propriétaire. Pauline accuse Michel de lui avoir loué un logement insalubre, dissimulant volontairement les défauts lors de la visite initiale. Elle réclame des travaux immédiats et des dommages et intérêts pour préjudice sur sa santé. Michel, de son côté, nie toute faute et affirme avoir agi pour rendre service. Un conflit qui promet d’être électrique.
Olivia contre Marijana : la guerre des étages
Le deuxième différend met en scène Olivia, habitante du deuxième étage d’un immeuble ancien, face à Marijana, propriétaire de l’appartement du dessous. Olivia se plaint de nuisances sonores insupportables causées par les locataires de Marijana, allant jusqu’à fuir son domicile. Marijana, quant à elle, minimise la situation et soupçonne une intolérance d’Olivia à la vie en communauté. Un cas qui soulève la question de la responsabilité des propriétaires bailleurs.
Gwendoline et Ludovic contre Yvon : des voisins aux abois
Le dernier conflit oppose un couple d’éleveurs de chiens, Gwendoline et Ludovic, à leur voisin Yvon. Les éleveurs accusent Yvon de mener une guerre contre leur chenil professionnel, pourtant en règle. Yvon, lui, se dit victime d’un enfer sonore et réclame des solutions concrètes. Une situation qui illustre les tensions pouvant naître entre activités professionnelles et tranquillité du voisinage en milieu rural.