par Clément Lasserre le
Ce mercredi 21 février, dans l’émission “Qui veut être mon associé ?” sur M6, Éric Larchevêque se place en désaccord avec l’opinion des autres investisseurs sur un cas bien particulier. On vous dit tout dans cet article !
Comment regarder le replay de l’émission ?
Les épisodes sont disponibles en streaming vidéo sur 6play.
Le projet EPPUR
Lancelot et Colin, deux amis et co-fondateurs d’EPPUR, se sont présentés face au jury avec comme ambition de récolter 250 000 euros contre 5% des parts de leur entreprise. Pour quelle ambition ? Améliorer la sécurité et la mobilité de plusieurs milliers de personnes. En effet, EPPUR imagine et conçoit des roues freinantes, par rétropédalage, pour fauteuils roulants appelées “Dreeft”.
Leur dispositif change considérablement le quotidien des handicapés : plus de brûlures aux mains, plus de craintes de ne plus pouvoir freiner. Leur équipe a remporté de nombreux prix comme le concours Lépine et leurs clients sont des revendeurs de fauteuils roulants. Lancelot et Colin souhaitent faire d’EPPUR une marque de produits de mobilité au service des personnes atteintes de handicap.
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Une vision à l’international
Leurs roues “Dreeft” sont déjà demandées dans plus de 30 pays. Or, aujourd’hui, l’entreprise française n’œuvre qu’en France. En levant des fonds, leur objectif principal est de s’exporter pour répondre à cette demande. Toutefois, Kelly Massol et Anthony Bourbon les mettent en garde. D’après leur expérience, mieux vaut être numéro 1 dans un marché dans lequel on est déjà implanté (la France), avant d’aller conquérir d’autres pays.
« Ne les écoutez pas, c’est juste débile ! » 😮
Place à de nouveaux entrepreneurs dans « Qui veut être mon associé » 💰#QVEMA, ce soir à 21.10 pic.twitter.com/uCeAQPBzck— M6 (@M6) February 21, 2024
Face à ces opinions très tranchées, Eric Larchevêque n’y va pas de main morte : “Ne les écoutez pas, c’est juste débile !”. Cet investisseur chevronné a une parfaite connaissance du marché international et du potentiel d’une start-up pour devenir une licorne. Il se propose donc de les accompagner et d’accélérer le développement de ce beau projet.