par Clément Lasserre le
Des panoramas époustouflants, des cités côtières pittoresques, des eaux azurées… En quelques années, la Bretagne s'est transformée en un point chaud incontournable pour les vacanciers. Dans ce nouveau numéro de Capital, découvrez cette région comme vous ne l’avez peut-être jamais vue. Le programme est diffusé ce dimanche 23 juillet sur M6 à 21:10.
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Victime de son succès
Avec une croissance de 7% en trois ans (plus grande augmentation de l’afflux touristique de France), la région bretonne devient un eldorado très convoité. Qui sont donc les principaux bénéficiaires de cette fréquentation ?
À seulement 1h30 en train de Paris, la Bretagne, avec ses 2500 kilomètres de littoral, fait rêver. Par conséquent, dans des villes comme Carnac et Quiberon, dans le Morbihan, l’afflux sans précédent de vacanciers fait grimper les prix. Que ce soient les campings, les agents immobiliers ou les glaciers, tous rivalisent d’ingéniosité pour tirer parti de cet engouement. Est-il alors toujours possible de séjourner dans cette région à prix abordable ?
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Une concurrence rude
À Saint-Malo, la concurrence est féroce entre les cent crêperies de cette cité corsaire. Les restaurateurs redoublent de créativité pour séduire une clientèle qui ne sait plus où donner de la tête. Entre galettes réinventées et crêpes traditionnelles, les propositions singulières sont nombreuses. Quels sont les secrets de ces business pour se démarquer ? Lumière sur la bataille acharnée que se livrent les restaurateurs de Saint-Malo.
Les labels bretons sont-ils fiables ? Le Kouign-amann, le cidre ou encore le Breizh-Cola sont particulièrement ancrés dans le terroir local. Celui-ci est protégé par de nombreux labels tels que « Be Reizh », « Bio Breizh » ou encore « Produit en Bretagne ». Ces étiquettes rencontrent un succès retentissant auprès des clients grâce à des campagnes de promotion d’envergure déployées sur des zones très fréquentées. Mais ces labels sont-ils vraiment fiables ?